Des résultats encourageants
depuis le départ de l’étude, nous avons étudié plus de 100 cas sur les chevaux ayant des perturbations émotionnelles.
Ces résultats nous invitent à élargir notre étude pour en compléter la compréhension.
Processus :
La personne responsable de l’animal doit bien connaitre la perturbation de l’animal, la situation dans laquelle le problème apparait.
Ces résultats nous invitent à élargir notre étude pour en compléter la compréhension.
Processus :
La personne responsable de l’animal doit bien connaitre la perturbation de l’animal, la situation dans laquelle le problème apparait.
- Nous redéfinissons ensemble les conditions de perturbation de l’animal.
- Nous recréons volontairement la situation perturbante pour l’animal.
- Nous devons repérer avec précision quand le stress apparait, instant manifestement propice à sa résolution. En général l’animal se bloque à ce moment là.
- En maintenant l’animal dans cet espace, on constate une désensibilisation automatique pourvu qu’on lui laisse quelques minutes (3 min maximum)
- Au bout de ce temps, l’animal manifeste des signes de désintérêt ou de détente.
- Pour valider la désactivation, nous le confrontons à la situation stressante de départ.
Observations : nous supposons donc que l’animal possède et utilise ordinairement, naturellement cette capacité à désactiver ses peurs, à deux conditions :
– qu’on lui en laisse le temps sans intervenir de quelque manière que ce soit.(Caresses, paroles rassurantes…)
– qu’il n’y ait qu’une source de stress à la fois.
Pour valider notre processus de désactivation, il reste à l’appliquer largement.
Ces expérimentations se feront en toute transparence et en partenariat avec les propriétaires, responsables de centres équestres, vétérinaires, dresseurs, éleveurs, ostéopathes, etc…